
Le
26 mai 1766 au Fay (Saône-et-Loire) deux maçons, Jean et Anne TOTE, de
Clermond, meurent noyés lors de l'éboulement d'un nouveau puit.
Deux
autres personnes, Jean MARTINET, avec qui j'ai une relation de
cousinage, et Jean Baptiste PERNIN, sont morts noyés, lors de ce même
éboulement, en tentant de sauver les frères TOTE.
Jean MARTINET, acteur et victime de ce dramatique accident, était un
simple
laboureur.
Comme
quoi la généalogie n'est pas seulement intéressante pour les nobles ou
notables que l'on peut être amené à trouver dans nos ascendants.
Elle
l'est aussi, et je dirai même surtout, pour tous ces anonymes, ces
sans-grades, qui peuvent être capables des plus grands actes
d'héroïsme, et qui constituent la grande partie de nos ascendants.

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